« Des procédures de conformité sans culture d’éthique semblent pouvoir s’apparenter à des arbres sans racine », telle est la première phrase du dernier article ʺAu-delà des procédures, la cultureʺ @Cercle d’Ethique des Affaires (CEA).
Dans la filière bois, l’environnement (🌲🌳) et l’éthique sont liées, et les exigences sont de plus en plus présentes pour les entreprises, volontaires (certification de la gestion durable des forêts, légalité des produits bois) ou obligatoires (réglementation RBUE, SNDI, projet de loi européen sur la déforestation importée).
« Un risque critique existe que cette conformité ne soit que de façade, utilitaire et finalement oublieuse de ses objectifs premiers. Les procédures, aussi précieuses qu’elles soient, ne suffisent pas en la matière et doivent être soutenues par une véritable culture éthique. »
➡️ Comment faire naître et durer une culture de l’éthique en entreprise ? Les réponses dans ce très bon article à lire absolument.
« A l’heure où la recherche de sens au travail apparait comme un nouvel incontournable, les raisons pour lesquelles il est nécessaire de développer une véritable éthique d’entreprise s’avère plurielle (…). Et ce sans préjudice des bénéfices plus directs que sont la baisse des risques de non-conformité, la création de potentiels avantages concurrentiels, ou encore la protection de la réputation … »
Le ʺbois de conflitsʺ Russe et Biélorusse est à présent non-certifié (certification FSC et PEFC) : cette nouvelle situation génère non seulement un impact sur les achats, mais aussi sur l’éthique de l’entreprise.