L’indice LPI (Living Planet Index) 2020 montre une baisse moyenne de 68% (de -73% à -62%) des populations surveillées de mammifères, d’oiseaux, d’amphibiens, de reptiles et de poissons entre 1970 et 2016.
« Trop peu de nos décideurs économiques et financiers savent comment interpréter ce que nous entendons ou, pire encore, ils choisissent de ne pas être du tout à l’écoute. L’un des principaux problèmes est le décalage entre la ʺgrammaire économiqueʺ artificielle qui anime les politiques publiques et privées et la ʺsyntaxe de la natureʺ qui détermine le fonctionnement du monde réel. Le résultat est que nous manquons le message. Désormais, la protection et l’amélioration de notre environnement doivent être au cœur de la manière dont nous atteignons la prospérité économique. »
« Un avenir meilleur commence par les décisions que les gouvernements, les entreprises et les citoyens du monde entier prennent aujourd’hui. »
➡️ Voir dans le rapport l’indice LPI par région, les indicateurs, la carte mondiale de l’empreinte écologique de la consommation par personne en 2016, le lien entre la biodiversité et la santé.
Source : communication et rapport WWF.